French, Spanish and Italian Theses and Practica
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- ItemOpen AccessLe contact des cultures inuite et blanche et la construction d’identités transculturelles dans La rivière sans repos de Gabrielle Roy et Histoires nordiques de Lucie Lachapelle(2019) Ogunade, Olufolakemi; Cartmill, Constance (French, Spanish and Italian; Lassi, Etienne-Marie (French, Spanish and Italian); Adina Balint (University of Winnipeg); Chassaing, Irène (French, Spanish and Italian)Abstract Gabrielle Roy’s La rivière sans repos and Lucie Lachapelle’s Histoires nordiques were inspired by the experiences of the authors during their stay in Northern Quebec in the sixties and the eighties respectively. The two books describe the relationship that exists between the Whites and the Inuits as a result of colonisation. Although the Inuits have been in contact with the Whites since the 17th century, their subjection to a colonial and acculturation system which had a major effect on their cultural identity only started in the fifties. The aim of this thesis is to study, through Roy and Lachapelle’s texts, the evolution of the Whites’ perception of the colonial enterprise and the contact between the Inuits, and the effect of these on the two groups in contact, using the theories of Michel de Certeau, Frantz Fanon, Albert Memmi and Fernando Ortiz. This thesis reveals that the Whites’ perception of the Inuits and the colonial enterprise evolve with time even though some aspects remain unchanged. Also, it discovers the progressive construction of new transcultural identities as a result of the contact of the Inuits and the Whites. Résumé La rivière sans repos de Gabrielle Roy et Histoires nordiques de Lucie Lachapelle sont deux œuvres inspirées par le séjour de leurs auteures au nord du Québec dans les années soixante et quatre-vingt, respectivement. Toutes deux décrivent les relations des Inuits et des Blancs à la suite de la colonisation. Si les Inuits sont en contact avec la population blanche depuis le 17e siècle, en effet, ils sont soumis depuis les années cinquante à une entreprise de colonisation et d’acculturation qui a laissé ses marques sur leur identité culturelle. L’objectif de cette thèse est d’étudier, à travers les textes de Roy et Lachapelle et avec l’appui des théories de Michel de Certeau, Frantz Fanon, Albert Memmi et Fernando Ortiz, l’évolution de la perception qu’ont les Blancs de l’entreprise coloniale et du contact des cultures autochtones et blanches, ainsi que de leur impact sur l’identité de leurs différents protagonistes. Cette thèse montre ainsi que la perception qu’ont les Blancs des Inuits et de l’entreprise coloniale au Nord du Québec évolue et change avec le temps, même si certains de ses aspects restent inchangés. Elle découvre également la construction progressive, grâce au contact des deux cultures blanche et inuite, de nouvelles identités transculturelles.